Chère Danielle,
Il y a des gens qui ne se lassent jamais de regarder des montagnes, d'autres la mer. Tu pourrais te joindre à eux, pendant un certain temps. Mais toi, tu aimes les maisons !
Tu avais pensé que la skyline magistrale de Shanghai t'aurait assez rassasiée, que tu serais devenue blasée et qu'aucune autre skyline ne te ferait de l'effet. Quelle erreur ! Dès que tu l'as vue, loin, par intermittence, la magie de celle de Chicago a fonctionné.
Tu t'étais sentie oppressée à Saint-Louis aux pieds de bâtiments qui laissaient à peine passer la lumière. A Chicago, tu t'es extasiée devant tant de variétés, de mélanges d'époques et de styles.
Avec toute mon amitié.
D.
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